Artémis Li-Ann
(S) 6ème année
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Age : 34
Ptit mot ? : euh... Kawasaki ?
Chaussettes : montagne, laine double épaisseur ^^'
Date d'inscription : 11/06/2006
 | | Sujet: Partenaire : Entre les lignes Ven 16 Fév - 19:13 | |
| (hm hm, petit commentaire pré pub(aire  ) : ce joli petit forum agé de quelques jeunes semaines a l'air vraiment très bien. J'ai parcouru par hasard quelque sujets et il se trouve qu'en plus les joueurs jusqu'à maintenant son plutôt bons. Un très bon forum en devenir, d'autant plus que l'histoire est intéréssante et offre beaucoup de possibilités à condition d'avoir de l'imagination. Enjoy les gens, inscrivez-vous c'est un bon placement que vous ferez là  )  La Guerre de Sécession (1861/1865) fait rage depuis maintenant deux ans. La Famille Andrew, sans être réduite à la misère, vit pauvrement dans le village de Little Town. Ce petit village où tout le monde se connaît, ou l’on sait tout sur tout le monde. Quelle ambiance y règne t-il ? Dans l’ensemble, les villageois s’entendent bien… Après tout : C’est la guerre. Le temps n’est plus aux caprices et aux rumeurs des commères… Mais tout de même, cela persiste. Les voisins des Andrew sont vraiment les personnes les plus gentilles qu’il n’y ait jamais eu. Si la Famille Andrew n’est composée que de femmes, celle des Alcoot est, elle, composée uniquement d’hommes. Quel hasard me diriez vous !
Et comment subsister quand votre seul soutien moral et financier n’est plus à votre côté ? Joséphine Andrew, mère de la famille Andrew, n’en peut plus ! Les plus aînées de ses filles sont obligées de travailler après l’école. Même la plus jeune s’est mis en tête d’aider Joséphine en allant distribuer le Journal.
Heureusement, les femmes Andrew s’entraident et se remontent le moral mutuellement ! Ainsi, elles continuent leur petit bout de chemin, afin de ne pas sombrer dans la misère.
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De nombreuse fois Matthew, père et veuf de la Famille Alcoot, a proposé à Joséphine de l’aider financièrement. En vain. Ce petit bout de femme était très fière et déterminée à se débrouiller par elle même. Pourtant cela aurait été si facile d’aider ces voisines si gentilles et pleines de joie. Quel bonheur de voir que ses fils n’avaient pas sombré dans le chagrin à la mort de sa femme bien aimée. Les Andrew avaient été là pour les consoler et les aider à surmonter leur peine. Oui… Les Andrew et Alcoot étaient liés par un lien étrange… | |
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